Il n’y a pas longtemps le blog a fêté ses un an. Mieux vaut tard que jamais, j’ai un petit article pour vous. Un peu d’actualité, comme l’on peut voir sur tant de blogs à présent. Cet article a été durant des mois, en construction. 😉 Il est temps pour lui d’émerger à la surface.
Merci d’avoir fait et de faire vivre ce blog. Cavaliere, mais pas que!
«Le temps découvre les secrets; le temps fait naître les occasions; le temps confirme les bons conseils.»
– Bossuet.
Depuis notre plus jeune âge, nous, passionnés, sommes conditionnés pour des milliers de choses. L’équitation en fait partie.
Le but principal de ce blog est de pointer du doigt, comme vous le savez, les pensées matérialisées, sans réflexions où les uns suivent les autres sans véritablement savoir pourquoi. La simple et minuscule illusion de se convaincre durant une seconde que l’on guide nos vies et que nos décisions n’appartiennent qu’à nous, qu’elles sont un choix personnelle… C’est bien faux. Mais ça peut changer !
(Seul vous, pouvez désirer E-V-O-L-U-E-R …)
J’aimerais aborder avec vous sur Cavalieremaispasque, une base importante du respect équin, fondamentale dans l’équitation comme je la conçois: communément appelé “le débourrage”, je préfère apparenter l’acte comme un pas dans une autre dimension – j’aimerais que dans quelques années nous puissions raisonner de telle manière que… Monter sur son cheval est une option, peu indispensable et absolument pas nécessaire mais que nous voyions cela comme un immense privilège – une sorte de pallier que l’on aborderait que lorsque le couple cavalier/cheval s’en donneraient l’autorisation (ndlr: Débourrage = homme sur le dos du cheval).
Je souhaite que nous levions le voile sur une probable vérité qui ne l’emporte malheureusement pas sur les dogmes de notre équitation vieillotte et académique…
J’ai pu constater que les français sont «équestrement» chauvins (on ne peut le nier!), comme si nous avions déjà atteint le seuil de l’excellence et du savoir, et avions trop peurs de ne pas pouvoir aller au-delà d’une évolution logique des choses, qui leur serait totalement inconnue jusque là. Peu d’humain souhaite faire l’effort d’aller au delà des vérités universelles créées ingénieusement pour épargner toutes réflexions plus ou moins intelligentes et raisonnées, au risque de désavantager le rendement…
Cela fait des années que certains s’égosillent afin de faire entendre des vérités que d’autres étouffent… Sans arrêt nous percevons les mêmes discours : «La vérité n’existe pas» Peut-être…pas, mais en tout cas, la logique existe même si elle est subjective. Les faits sont là. «Cela fait des siècles que l’on procède comme cela… Pourquoi changer ?», cette phrase me cingle. – «Il faut arrêter, les chevaux sont solides ce sont des bêtes de 5 à 1000 kilos, porter un humain de 5 à 80 kilos..! Ce n’est pas la mort!» Il y a des phrases qui méritent un Oscar tant elles sont magiques!
Depuis la naissance des premières intentions de l’homme à l’égard du cheval, où il n’y voyait qu’un moyen de locomotion ou de rentabilité, l’homme n’a évolué que modérément (Ô désespoir…). Le cheval, avant d’être un animal apprécié au delà d’une bouffée d’adrénaline, une machine de guerre, un porteur de bride dans un carré de dressage, ou encore même d’un accessoire de mode, il ne s’est pas passé grand chose afin de préserver ses conditions physiques et mentales. Il n’y a rien de naturel, et de «normal» qu’un cheval porte un homme sur son dos. Absolument rien. C’est pour cela, qu’il faut ménager sa santé.
C’est tellement risible, lorsque je tombe sur des tas d’exemple lors de petites virées sur divers sites où je scrute scrupuleusement certains témoignages, il est tout à fait normal d’y voir des chevaux débourrés à 2 ans voire 3, qui, paradoxalement sont traités pour la moindre bricole (si il y a, vu qu’ils les envelopperaient presque dans du papier bulle…) Un cercle vicieux et paradoxal peu compréhensible, qui comprend à meurtrir pour guérir. Pour exemple, dans le monde professionnel et sportif de l’équitation… grand stéréotype du cheval en box bourré d’aliments couplé d’un grand stress qui malgré les soins, n’évitent pas les ulcères… mais qui sont promis à des soins typés cinq étoiles…

Ce que je trouve inénarrable, c’est que l’on soit au XXI ème siècle, et que beaucoup de cavaliers ainsi que de professionnels nient tout problème dû à un “débourrage” précoce. Sommes-nous capable d’aller jusqu’à se crever les yeux et les tympans, s’emmurer dans l’indifférence, se bercer d’illusions jusqu’à se persuader que l’on a raison afin d’atteindre son confort personnel éphémère ? Ou, serions-nous prêt à admettre une logique réfléchie, prouvée, une vérité sans issue de secours aux hésitants, qu’un débourrage précoce n’est que peu conforme à une équitation respectée et respectable, êtes-vous prêt à baisser vos armes, vos à priori et de rompre l’illusion d’un confort purement égoïste jusqu’à, encore une fois oser ébranler une équitation conformiste où peu de cavaliers osent et tentent d’évoluer jusqu’à fissurer l’armature imposée ? «Rompre l’os et sucer la substantifique moelle» il n’y a pas de mal à repousser les frontières du savoir équestre pour s’abandonner à une relation homme-cheval qui vous ressemble… Osez vous poser des questions, qu’importe si elles sont en raccords avec celles que l’on vous a toujours imposées… Osez sortir des sentiers battus, sans avoir peur d’être ridicules ou faibles. Il n’y a aucune honte à baigner dans l’empathie, avec les animaux, bien au contraire… L’ignorance c’est avant tout la réflexion d’un autre, qui ne traduit rien pour soi. La plus intelligente des analyses peut en devenir la plus creuse entre les mains d’un autre…
C’est encore un sujet délicat puisqu’il tend à complètement retourner les idéologies équestres qui bercent tant de générations depuis des lustres, et il ait vu d’un très mauvais œil même accompagné de preuves, d’oser contre-dire l’équitation universelle ! Cependant, je pense qu’il est important d’effacer certaines informations programmées et contraire à la passion équine : «Plus le débourrage d’un poulain se fait tôt, et plus les possibilités de rébellion sont amoindries», c’est immoral en plus d’être sans-fond. C’est typiquement une réflexion où s’extrait une forme de lâcheté humaine. Quelque part, c’est comme si l’on profitait sans scrupule de la fragilité du poulain pour en tirer un bénéfice peu mérité.
Je lis très souvent des abominations qui me font sauter de ma chaise, où les gens croient tellement fort à leur vérité fondée qu’ils justifient mal, et basée sur des preuves physiologiques qui vont à l’encontre de la santé mentale et physique des chevaux, que ça en devient effrayant… j’empreinte le «courant empathique» … En plus de réfléchir dans la logique des choses, nous avons la chance d’avoir des études scientifiques qui appuient la théorie: le COMMENCEMENT de la consolidation de ses cinq vertèbres dorsales se fait seulement à partir de 5 ans minimum. Donc c’est à dire qu’avant les 5 ans, les chevaux (TOUS) n’ont PAS commencés leur consolidation au niveau des vertèbres… Qu’est ce qui soutient nos fesses ? Le muscle n’a pas la possibilité de le faire à 100%.
Le “débourrage” peut être une étape cruciale si il se fait rapidement, sans préparation au préalable, sur internet nous pouvons visionner de nombreuses photos, vidéos, et divers sites où les « blablateurs » n’hésitent pas à afficher leur talent de «débourreur» avec en prime le temps aux nombres de jours et à la seconde près… face à des chevaux terrorisés …du “sable” aux yeux qu’ils nous balancent en pleine figure, tel un trophée; “lançage de fleurs, et adulation”.
Nos z’hérooos!
Cependant, il est possible d’anticiper l’étape du “débourrage” pour que cela ne soit qu’un simple pas de plus dans la relation cavalier-cheval. Une continuité relationnelle… qui ne doit pas avoir de répercutions physique ou morale pour le cheval.
Il faut ôter toutes ces pensées pré-conçues qui libèrent des choses incompréhensibles, servit dans des barquettes, illogiques, et adaptés aux cavaliers qui ne se posent aucunes questions et qui ne veulent s’en poser aucune, qui emmagasinent un maximum de choses afin d’avoir le plus beaux palmarès… et qui bien souvent, ne savent même pas pourquoi le cheval a 4 sabots. Lorsque nous leur posons la question fatidique : Pourquoi débourre t-on les poulains de 2-3ans ? Ils sortent des phrases impressionnantes et relativement convaincantes, classées par mes soins par registres :
L’agressif où prime une grande réflexion équestre
: «Tout le monde le fait ! Et puis, c’est comme ça qu’on fait! Toi, t’y connais rien!»
Le mélodrame, où une grande logique est appliqué
: «Les chevaux n’en sont pas morts!» Ah bah oui!
Le cépamoa
: «Je sais pas c’est la sœur de la cousine du concierge qui m’a dit que les chevaux se débourraient à 3 ans!»
Et, mon préféré : Le 98% de la population cavalière : «Un cheval fait entre 400 et 1T, c’est pas en portant un gugusse de 50/60Kgs qu’il va avoir mal au dos!»
Plus sérieusement, entre nous, en toute logique… ça ne dérange personne de faire des choses dont on ne comprend même pas pourquoi nous les appliquons, où, quand et pourquoi? S’imposer des méthodes, calquer, mimer, répéter mécaniquement les attitudes que les autres recopient sur les autres, qui prennent exemples sur d’autres…sans jamais y voir le bout, des raisonnements sans une once de réflexion personnelle?
Sur divers fils de discussions, nous pouvons lire qu’ « un poulain d’un an et demi peut être débourré si sa morphologie le lui permet; les Comtois notamment, ou même aux chevaux avec beaucoup d’os. Il y a des races plus précoces ou plus tardives que d’autres ». Ca à tendance à me hérisser le poil et à me tordre l’estomac. Il faut savoir différencier la maturation du squelette, le physique superficiel et l’amas de graisse. Comtois, PsAR, PsAN, Trotteur, shetland, … n’ont pas la possibilité mentale et physique d’avoir un cavalier perché sur leur dos avant (c’est le minimum!) une solidification totale de leur vertèbres. Et puis, aucuns équidés n’ont le bouton Avance-Rapide planqué dans leur poil, autrement dit, (je radote, OUI) la consolidation des vertèbres ne se fait pas avant 5 ans, minimum. Par logique, les chevaux ne devraient pas se faire monter sur le dos régulièrement, pas avant leur cinquième année !
Aucun cheval encore n’a pu prouver un tel exploit : Pomponette, le cheval qui consolide ses vertèbres plus vite que son ombre!
…
L’ossature, le gabarit n’a rien à voir avec une solidification quelconque.
En clair, pour résumer ce charabia, aucun cheval n’a les capacités à accélérer sa croissance physique ET mentale. Et de nombreuses personnes se cachent derrière une logique qui n’a ni queue, ni tête, pour tenter en vain de déculpabiliser leur actes face à de telles vérités prouvées scientifiquement. Ils ne cesseront jamais de se justifier inutilement derrière des tas d’inepties qui porteront malheureusement préjudices aux chevaux… et ils ne méritent en aucun cas un tel j’en-foutisme.
Nous sommes au XXIième siècle, et comme je le souligne plus haut, nous ne profitons pas de nos ressources complètes; sur ce plan, nous pourrions même volontiers se passer d’études scientifiques, rien qu’avec un peu de bon sens et de logiques… nous arriverions aux mêmes constats. Et, si l’on cessait un peu de copier bêtement les gestes et d’aspirer sans un minimum de lucidités les informations de « c’est pas moi, c’est l’autre »… cela nous éviterait de provoquer des maux, volontaire. Il n’y a rien de pire selon moi, de prendre connaissances de ces informations mais de ne pas se donner la volonté de changer. Mais de continuer aveuglément son chemin, toujours dans le déni et l’hypocrisie…sans se soucier du principal concerné : le cheval.
Pour en revenir à ces légendes urbaines en tout genre, où il paraîtrait qu’un débourrage après 3 ans serait voué à l’échec puisque les chevaux se serviraient de leur « force » – se rabattant comme toujours dans le mauvais anthropomorphisme où l’esprit étriqué de l’humain lui joue des tours – affirmant que plus on prend de l’âge, et plus l’apprentissage devient difficile, parlez pour nous! Ce qui est faux, puisqu’encore une fois, on cherche à dissimulé sa propagande (ou son incapacité à…)sous des excuses sans fond et sans formes… Profiter du jeune âge d’un poulain qui n’a pas encore fini de se consolider autant physiquement que mentalement pour tenter d’exploiter ses capacités… il n’y a franchement pas de quoi s’en vanter. Finalement, vaut mieux profiter de l’esprit beaucoup plus “faible” d’un poulain, que d’un cheval plus mature.
Le cheval est correctement préparé tout au long de ses 5 premières années à tout naturellement, donner la permission au cavalier de pouvoir s’immiscer sur son dos, il n’y aura probablement aucunes ombres au tableau.
Je tends à croire que “la monte” précoce émane des troubles du comportement en plus de problèmes physiques qui peuvent survenir au fil du temps. Je reste persuadée que les crises dont se plaignent (les fameuses excuses) les cavaliers; subviennent en parti à cause d’un débourrage précoce, ou alors les alimentent ? (Remarquez, vous imaginez si les chevaux n’en “faisaient” plus…? De qui se plaindrions-nous?!
) …
Léo monté à 7 ans, par cafriselapassion (Isabelle Checroune) (Un bout d’Adana, montée à 4 ans et demi)


Hélios, travail au sol à 4 ans.
Je parle, je parle, mais j’oublie de sortir le pilier de cet article… Le fameux article qui fiche une vraie bonne claque dans la figure, là où la science, pour les plus sceptiques, nous dévoile les conséquences d’un débourrage précoce sur l’anatomie du cheval au fil des années et ses différents stades de croissance osseuse.
Une révélation qui devrait laisser les hommes et femmes de chevaux béants. Le respect du cheval s’exempt d’abord sur le plan physiologique, avant d’attaquer la morale, et l’éducation! Je lis souvent les cavaliers commettre l’erreur de comparer physiquement un homme et un cheval qui plus est l’un est un bipède et l’autre un quadrupède, qui ne répartissent pas du tout leur poids et leur centrage corporel de la même manière… Il n’est donc pas négligeable de laisser son cheval finir sa croissance et qu’il puisse d’abord supporter son propre poids (organes, tenir compte du point de centrage du cheval…) avant de supporter le poids d’un homme.
Centre de gravité et d’équilibre à partir de la treizième vertèbres.
Source; Equitation passion

Ça me semble être du pur bon-sens… Pour reprendre la comparaison humaine, nous ne pourrions pas parler d’un enfant de 10 ans, en soulignant : Tiens, le petit gros, il peut me porter, par rapport à son copain le maigrichon. C’est insensé. Le physique superficiel, celui que l’on se permet de juger à l’œil nu NE DOIT PAS influencer la réalité – et cette réalité s’exprime grâce à l’âge – le point de repère, seulement après on peut établir une évaluation sur le physique de l’animal. Puisque comme nous ne cessons de rabâcher – Les chevaux sont différents, et certains n’évoluent pas et se développent de la même manière… MAIS, ça ne doit être prit en compte seulement après l’âge minimal du début de la solidification des os – (donc 4-5 ans minimum.)
Un petit exemple d’un poney dit “porteur”, à gauche Ulan à 3 ans et à droite, 5 ans. Impressionnant !
Lorsque l’on voit cette évolution positive de prise de masse, on ne peut se poser qu’une seule question : Comment monter le cheval de gauche sans lui rompre les os, ou tout du moins sans l’abîmer physiquement?


Je le répète, les origines n’ont rien à voir avec la solidification de l’ossature chez le cheval. RIEN.
Il y a effectivement des chevaux qui grandissent et se développent plus rapidement mais ça ne traduit absolument pas des os solidifiés. C’est IMPORTANT d’en prendre note, et de s’en rendre compte.

Chance’s et Maeva – Jamais réellement débourré, monté pour la première fois à 5 ans.
Des photos de dos ensellés, je n’en mettrais pas puisque l’important est de surtout voir le physique global d’un poulain de 3 ans, et d’un jeune cheval de 6/7 ans. Et, rien que cela devrait susciter la curiosité mais surtout la réflexion.
Quand est-ce que nous pourrons accepter la logique basée sur des preuves tangibles, et lâcher toutes ces « légendes » pré-conçues et bourrées d’inepties… afin d’évoluer vers un bien-être complet et UTILES aux chevaux?
Faut-il former nos moniteurs, qui sont nos premiers fils conducteurs équestres, au véritable confort de nos chevaux? Les mentalités DOIVENT changer, et ÉVOLUER (chose qui est très difficile puisque les acquis uniques pour des millions de personnes sont difficiles à remettre en question.) Clairement, je reproche ce raisonnement : « Je sais des choses, même si elles sont mauvaises, je les sais quand-même. Ca fait de moins un cavalier. Point. »
Monter son 3 ans en « balade », ou « simplement quelques fois »… n’est pas franchement conseillé. Le dos n’est pas musclé (en plus!), mettre un poids de temps en temps, sans «habitude» c’est comme si humainement parlant, on portait une fois par semaine/ par mois, une charge inhabituelle sur notre dos vierge.
Je tends également à croire tout à fait personnellement, qu’un dos utilisé si jeune met du temps à se consolider CORRECTEMENT par la suite. Est-ce que cette solidification peut faire son boulot ? Et, créer des malformations, par la suite.
Il faut savoir également que le dos traduit une multitude de soucis qui n’est pas forcément relié DIRECTEMENT à celui-ci. C’est à dire qu’un cheval qui a des problèmes aux jambes, aux sabots, aux cervicales, etc… a de grandes chances que cela viennent au final, du dos.
Il y a des millions de choses à faire avant d’avoir l’ultime privilège de poser nos fesses sur leur dos… qui se fera le plus simplement possible si la relation que vous entretenez au fil du temps, n’est pas axé seulement sur le plaisir de l’équitation.
Vulkan – 4 ans.
Des longues-rênes,

Badou, 3 ans.
Des jeux au clicker,

Des bon moments balade/travail ludique,
Le cheval qui ne porte pas son cavalier ne traduit pas = Un cheval asociale, sauvageon, qui n’a jamais porté un licol de sa vie. Le but est que durant ce précieux temps (de 2 ans à …) il faut en profiter pour travailler et s’amuser intelligemment ; et lorsque le cavalier sent le cheval prêt à partager autre chose qu’une relation à pied, et bien entendu, lorsqu’il lui est possible physiquement et mentalement de supporter un homme sur son dos ; de ne pas le surcharger d’informations. Pour conclure, le «débourrage» est une affaire de plusieurs années où il ne s’agit pas seulement de monter sur le cheval et d’en faire sa marionnette le plus tôt possible. Mais bien de partager une autre forme de relation, une étape différente dans la relation homme/cheval. Nous devrions au contraire, penser qu’il est important de ménager la santé de son compagnon de route…
Pour finir en sourire,
Voltéo et Jessy, qui eux, profitent du champagne en attendant le bon moment! 😉

Il est vrai qu’en général les chevaux ne meurent pas d’un débourrage précoce…
Mais, ils en souffriront… Tôt ou tard. D’une manière ou d’une autre.
Vous connaissez l’adage qui dit : Nous récoltons ce que nous semons… Les animaux ne demandent pas à payer de leur poche, le prix de nos erreurs… Ils subissent notre façon d’appréhender les choses.
«La paix est le temps où l’on dit des bêtises, la guerre le temps où on les paie.» Robert de Saint-Jean
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